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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    C'est parceque les juifs sont en position de force,,,, ils n'épargnent personne,,,,et en plus ils sont protégés par USA,,, le jour ou ils seront en position de faiblesse,,,, les arabes ne tuent pas,,,, les arabes égorgent leurs proies,,,, bon courage pour leur génération future,,, je suis en colère ,,,, HOGU'RA normale.
    ​Chaque personne cache un cadavre dans son propre placard

    géant 2500

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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Israël multiplie les frappes à Gaza, au moins 52 morts samedi



    Un Palestinien blessé après un bombardement d'Israël sur la bande de Gaza, le 12 juillet. | REUTERS/MOHAMMED SALEM

    Le conflit entre
    Israël et le Hamas s'intensifie. Au moins 52 personnes sont mortes samedi 12 juillet dans l'enclave palestinienne, à la suite de bombardements lancés par l'Etat hébreu contre des cibles « terroristes » du mouvement palestinien, dans le cadre de l'opération militaire d'Israël nommée « Protective Edge ».



    • Plusieurs villes touchées par les frappes israéliennes

    Le bombardement d'Israël le plus meurtrier a eu lieu tard samedi soir dans le quartier de Touffah de la ville Gaza : il a tué 18 personnes et blessé une cinquantaine d'autres selon les secours, qui précisent qu'une mosquée et une maison ont été touchées.
    Dans une autre attaque également dans la soirée, trois personnes ont été tuées à Rafah et une autre à Jabaliya. Tôt le matin, deux femmes lourdement handicapées ont péri dans un raid israélien contre leur foyer à Beit Lahiya.
    Dans la journée, dans le quartier Cheikh Radouane, dans l'ouest de la vaste agglomération de Gaza, six Palestiniens ont trouvé la mort. Ces six hommes, âgés de 21 à 58 ans, étaient assis dans la rue devant leur maison lorsqu'ils ont été touchés par le tir.




    • Une possible offensive terrestre

    En plus de leurs bombardements, les militaires israéliens ont intensifié leurs préparatifs en vue d'une possible offensive terrestre. L'armée a demandé samedi soir aux habitants du nord de la bande de Gaza d'évacuer leur maison en prévision de nouvelles frappes.
    Des dizaines de chars israéliens ont été convoyés sur des colonnes de camions dans la nuit et la matinée vers la frontière avec l'enclave palestinienne, où sont concentrées de nombreuses troupes. Plus de 30 000 réservistes ont été rappelés.

    • Affrontements entre policiers et manifestants

    Des affrontements ont éclaté samedi soir entre des manifestants palestiniens et des forces de l'ordre israéliennes à Hébron, au sud de la Cisjordanie occupée.« Trois personnes ont été blessées par des tirs à balles réelles de l'armée lors d'affrontements à Bani Naïm, à l'est d'Hébron », selon des sources sécuritaires palestiniennes.
    A Qalandyia près de Ramallah, au nord de la Cisjordanie, quelque dizaines de manifestants ont jeté des pierres et des cocktails Molotov sur les forces de l'ordre israéliennes. Des incidents similaires ont également éclaté à Jérusalem-Est, dans le quartier d'Issaouia et près de la porte de Damas, où un manifestant a été arrêté.


    • Tirs de roquettes du Hamas contre Jérusalem ?

    Samedi soir, deux violentes explosions ont été entendues à Jérusalem, peu après le retentissement des sirènes dans la ville. Les trois projectiles se sont abattus en Cisjordanie, où sont implantées de nombreuses colonies israéliennes, endommageant une maison mais sans faire de victime.



    Des tirs de roquettes depuis la bande de Gaza, le 12 juillet. | REUTERS/AMIR COHEN

    Des tirs de roquettes en provenance de Gaza ont également visé au même moment la capitale économique israélienne, Tel-Aviv. Les projectiles ont été détruits par
    le système de défense anti-aérien « Dôme de fer », qui avaient déjà intercepté deux roquettes dans la journée.

    Depuis mardi, quelque 600 roquettes ont frappé l'Etat hébreu et environ 140 ont été détruites en vol. Ces tirs ont fait une dizaine de blessés en Israël, mais aucun mort.
    Deux roquettes tirées du Liban se sont également abattues samedi soir sur le nord d'Israël, sans faire de victime. Selon l'armée, elles ont touché « des zones non habitées dans la région de Nahariya », une ville côtière située à une dizaine de kilomètres de la frontière libanaise.


    • Inquiétudes de la communauté internationale ?

    Peu avant le début du repos du shabbat, vendredi soir, le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a proclamé qu'Israël résisterait à toute « pression internationale » en vue d'un cessez-le-feu. Dans un entretien téléphonique avec M. Nétanyahou, Barack Obama a cependant proposé sa médiation pour tenter derétablir le calme, exprimant sa « crainte d'une escalade ».
    De son côté, le ministre des affaires étrangères britannique, William Hague, a annoncé samedi qu'il allait évoquer un cessez-le-feu à Gaza avec seshomologues américain, français et allemand en marge de la réunion sur lenucléaire iranien dimanche à Vienne.
    Le président égyptien, le général Abdel Fattah Al-Sissi, a quant à lui prévenu que l'escalade du conflit coûterait d'autres « vies innocentes », son bureau rappelant quele gouvernement égyptien était en contact avec Israël et le Hamas, après une réunion avec l'émissaire du Quartette pour le Proche-Orient, Tony Blair.
    Enfin, le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé samedi Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à cesser le feu et à « respecter les lois humanitaires internationales, notamment sur la protection des civils ». Dans une déclaration unanime, les 15 pays membres du Conseil ont « appelé à la désescalade [des tensions à Gaza], au rétablissement du calme et à la réinstauration du cessez-le-feu de 2012 ».



    • Un bilan déjà très lourd

    Au total, au moins 157 Palestiniens ont trouvé la mort et plus d'un millier d'autres ont été blessés dans les raids israéliens depuis le déclenchement de l'opération « Protective Edge », mardi 8 juillet. Elle vise à priver le Hamas de sa capacité à tirer des roquettes vers le territoire israélien.
    Ceci après une reprise des tirs et des violences, qui ont commencé après l'enlèvement et le meurtre de trois étudiants israéliens en Cisjordanie, attribués par Israël au Hamas, suivis de l'assassinat d'un jeune Palestinien brûlé vif à Jérusalem par des extrémistes juifs.
    En novembre 2012, l'opération israélienne nommée « Pilier de défense », qui avait déjà pour objectif de fairecesser les tirs de roquettes de Gaza, avait causé la mort de 177 Palestiniens et 6 Israéliens.







    Roquettes ? Ils n'ont plus rien. Israel bloque les vivres, l'eau, l'essence, le gaz........etc........Les matières premières dont tout être humain à droit. Et on nous parle de roquettes et tous les médias s'y mettent "les pauvres israeliens, un mariage gaché, trop de bruit" Silence ou faîte du bruit Ici on tue. Et qu'on ne nous dise pas pas que les tirs sont ciblés, que seul les terroristes (musulmans ?) sont visés, en Palestine il y a aussi des chrétiens. Pas gentil le hamas, on veut prendre leurs terres et ils répliquent en nous envoyant des coctails molotov.............Des centaines de morts c'est pas assez, on a besoin de plus de terre. La vie d'un israelien ne vaut-il pas la vie de cent palestiniens ? Le génocide continu......




    Dernière modification par edenmartine ; 13/07/2014 à 08h07.


  4. #13
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Gaza: première incursion terrestre d'un commando israélien

    cliquez pour agrandir
    voir les photos

    Un commando d'élite de la marine israélienne a mené dimanche à l'aube la première incursion terrestre dans la bande de Gaza depuis le lancement de l'offensive israélienne dans cette région, a annoncé le porte-parole de l'armée.

    "Une opération des forces spéciales de la marine a eu lieu sur une plage de Gaza afin de frapper un site de lancement de roquettes à longue portée. La mission a été menée à bien", a précisé à la presse le lieutenant-colonel Peter Lerner. "Les membres du commando ont été attaqués et ont répliqué. Quatre soldats ont été légèrement blessés", a ajouté le porte-parole.
    La branche militaire du Hamas, les brigades Ezzedine al-Qassam, a confirmé dans un communiqué que "des échanges de feux nourris ont eu lieu entre nos combattants et des soldats de la marine sioniste qui tentaient de pénétrer dans la zone de Sudanyia, (au nord-ouest) de la bande de Gaza".
    Il s'agit de la première incursion de l'armée israélienne depuis le lancement de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza durant la nuit de dimanche à lundi.


  5. #14
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    A Gaza, des raids israéliens intensifs depuis une semaine



    Des missiles s’écrasent sur la ville de Gaza, le 9 juillet. | AP/Hatem Ali

    Le conflit s'accentue de jour en jour entre Israël et le Hamas. Les bombardements dans la bande Gaza par
    Israël et les tirs de roquette du Hamas se poursuivent pour la septième journée consécutive, lundi 14 juillet.


    Dans ce contexte, le président palestinien, Mahmoud Abbas, en appelle à l'Organisation des Nations unies (ONU), tandis qu'Israël brandit toujours la menace d'une intervention terrestre avec la mobilisation potentielle de 30 000 réservistes. Selon les autorités palestiniennes, l'offensive israélienne a fait au moins 160 morts, dont 135 civils, et un millier de blessés.

    Ce conflit est le plus meurtrier depuis l'opération « Pilier de défense », en novembre 2012, qui avait déjà pour objectif de
    fairecesser les tirs de roquette de Gaza. Les hostilités avaient provoqué la mort de 177 Palestiniens et de 6 Israéliens en une semaine.


    • Des milliers de Palestiniens fuient le nord de Gaza


    Les ruines d'une maison à Rafah. | AP/Khalil Hamra


    Israël a lancé dès lundi à l'aube de nouveaux raids aériens et des tirs d'artillerie sur la bande de Gaza dans le but annoncé de
    neutraliser le Hamas et ses tirs de roquette. Ces nouvelles frappes ont atteint notamment des installations des brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche militaire du Hamas, mais n'ont pas fait de victime.

    La veille, l'armée israélienne avait appelé les habitants de plusieurs localités du nord de la bande de Gaza à évacuer leur domicile. L'aviation a dispersé des tracts exhortant les civils à quitter « immédiatement » la région et à se tenir loin des« activistes du Hamas » :

    « L'armée israélienne a l'intention d'attaquer les infrastructures terroristes. L'opération sera limitée dans le temps. Ceux qui ne respecteront pas les instructions mettront en danger leur vie et celle de leur famille.

    Des milliers d'habitants ont fui le nord de Gaza en voiture, à dos d'âne, à pied ou en charrette à cheval, emportant ce qu'ils pouvaient.
    En fin de journée, l'agence de l'ONU chargée des réfugiés Palestiniens (UNRWA) comptait 17 000 personnes réfugiées dans ses installations.

    Du côté de la Cisjordanie, par contre, un Palestinien a été tué au sud d'Hébron par des forces israéliennes, a annoncé sa famille lundi matin. La victime, Mounir Ahmed Badarin, était âgée d'une vingtaine d'années. Ses proches précisent que le jeune homme a été atteint par des tirs lors d'affrontements à Al-Samoua, et est mort plus tard à l'hôpital.



    • Des roquettes tirées du Liban et de Syrie


    Explosions à Gaza, le 13 juillet 2014. | REUTERS/AMMAR AWAD

    De nouvelles roquettes ont été lancées dans la nuit de dimanche à lundi du sud du Liban en direction du territoire israélien – troisième attaque de ce genre depuis vendredi –, entraînant des tirs de représailles.

    Les tirs n'ont pas été revendiqués, mais le général Motti Almoz, a déclaré :

    « Certains, en face, cherchent à faire monter la tension à la frontière. Cela ne nous surprend pas, nous nous y étions préparés, nous savions que les combats de Gaza auraient des retombées dans d'autres secteurs. »

    Ces tirs n'ont fait ni dégât ni victime, au vu des premières informations recueillies. Une autre roquette, tirée de Syrie cette fois, est tombée dimanche soir sur le Golan, région occupée par Israël, avait annoncé l'armée israélienne, qui n'a recensé aucune victime.

    Dimanche, une fusillade a aussi éclaté entre des combattants du Hamas et des membres d'un commando israélien pour la première fois depuis le début de l'opération militaire. Quatre soldats israéliens ont été « légèrement blessés ». Les brigades Ezzedine Al-Qassam ont confirmé « des échanges de feux nourris »avec des marins israéliens « dans la zone de Sudanyia ».


    • Mahmoud Abbas demande à l'ONU de placer la Palestine sous « protection internationale »

    A la suite de la détérioration de la situation dans la bande de Gaza, le président palestinien, Mahmoud Abbas, a demandé à l'ONU de placer l'Etat de Palestine sous la « protection internationale » des Nations unies.
    M. Abbas réclame aussi la création immédiate d'une commission d'enquête. « La direction palestinienne est déterminée à prendre des mesures concrètes pour
    faire face à la situation horrible à Gaza »
    , a souligné Hanane Achraoui, membre du comité exécutif de l'OLP.

    Dernière modification par edenmartine ; 14/07/2014 à 07h28.


  6. #15
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Nouveaux raids israéliens sur la bande de Gaza, le bilan dépasse les 200 victimes palestiniennes



    Les restes d'une voiture bombardée par l'armée israélienne à Rafah, le 15 juillet. | AP/Hatem Ali


    Nouveaux raids israéliens dans la bande de Gaza ont tué trois personnes dans la nuit de mardi au mercredi 16 juillet, au neuvième jour de la nouvelle opération militaire d'
    Israël menée contre le Hamas. Les médecins palestiniens indiquent que le nombre de victimes de ces bombardements est désormais de 202 morts, en grande majorité des civils, et que près de 1 500 personnes ont été blessées.

    Dans ses derniers bombardements, l'armée israélienne a notamment visé les domiciles de plusieurs responsables du Hamas, conformément à sa promesse après le rejet d'un cessez-le-feu par le mouvement islamiste qui contrôle l'enclave palestinienne.

    Les déclarations de Benyamin Nétanyahou : « Quand il n'y a pas de cessez-le-feu, notre réponse est le feu »

    Les avions de combat israélien ont visé à Gaza City l'habitation de Mahmoud al-Zahar, touchée par au moins deux missiles mais vide au moment des frappes, et celle de Bassem Naim.
    Les frappes israéliennes ont aussi touché les habitations de l'ancien ministre de la Santé Fathi Hammad et du député du Hamas Ismail al-Ashqar, à Jabalia.


    Israël avait déjà repris ses raids mardi après-midi, en réponse à des dizaines de tirs « aveugles » de roquettes du Hamas, dont deux ont été détruites en vol au-dessus de Tel-Aviv. Peu de temps après, un Israélien était tué par un tir de roquette au passage d'Erez entre Israël et Gaza, la première victime israélienne depuis le début le 8 juillet de l'offensive aérienne contre Gaza et l'intensification des tirs palestiniens.
    Dans la journée de mardi, plus de 100 roquettes et obus ont encore atteint Israël, dont l'une a visé la région de Haïfa, à 160 km au nord de Gaza. En huit jours, 960 projectiles ont touché Israël selon l'armée.


    Israël n'a pas pour autant encore déclenché d'opération terrestre bien que l'armée ait ostensiblement déployé des troupes d'infanterie et des chars aux abords de Gaza, mobilisant 40 000 réservistes en vue d'une éventuelle invasion, une option qui risque d'être coûteuse en vies humaines






    Liberman appelle à reprendre Gaza et dénonce les efforts de trêve

    Dans une attaque à peine voilée contre Netanyahu, le ministre des Affaires étrangères fustige ses « tergiversations »




    Le ministre des Affaires étrangères a critiqué, mardi, les ministres israéliens qui ont accepté la proposition égyptienne de cessez-le-feu avec le Hamas.


    Dans une attaque à peine voilée contre le Premier ministre sur sa manière de gérer la crise, Liberman a appelé Israël à reprendre Gaza. Il affirme qu’une trêve permettrait au groupe terroriste de se réapprovisionner et fabriquer de nouvelles roquettes.

    « Un cessez-le-feu est uniquement [un temps] de préparation pour la prochaine escalade de violence », a déclaré Liberman lors d’une conférence de presse à la Knesset, au moment même où la proposition égyptienne pour un cessez-le-feu agonisait.
    Le Hamas a continué de tirer des roquettes, une dizaine au total, sur Israël qui, après une pause de six heures, a ordonné la reprise des frappes aériennes sur Gaza.

    « Au sujet du rejet total [de la proposition égyptienne], nous devons prendre une décision claire. Toute cette hésitation nous porte préjudice, nous devons aller jusqu’au bout. Il n’y pas d’autres alternatives possibles », déclare Liberman, minant ainsi l’approche de Netanyahu sans pour autant mentionner le nom du Premier ministre.

    Le ministre des Affaires étrangères, qui dirige aussi le parti Israël Beytenu, affirme qu’une invasion à grande échelle de la bande de Gaza est nécessaire pour renverser le gouvernement du Hamas. « Le résultat final de cette opération serait que l’armée israélienne contrôle Gaza ».

    Mardi matin, Israël a annoncé qu’il acceptait la proposition de cessez-le-feu et qu’il cesserait unilatéralement les frappes aériennes sur Gaza. Cependant, peu de temps après, le Hamas a déclaré qu’il rejetait l’accord et a continué de lancer des roquettes sur tout le pays.

    Liberman et le président de Habayit Hayehudi, Naftali Bennett, étaient les seuls membres du cabinet de sécurité à voter contre la proposition pour le cessez-le-feu.
    Le ministre des Affaires étrangères a souligné qu’en quittant Gaza, Israël avait agi comme la scène internationale lui avait demandé de le faire. Il est revenu aux frontières d’avant 1967 et a donné le territoire au président Mahmoud Abbas de l’Autorité palestinienne. Qu’il soit tombé dans les mains d’Abbas, affirme Liberman, soulève des questions inquiétantes. « Nous avons retiré nos résidents ; évacué toutes les implantations », indique Liberman. « Nous devons le dire au monde, vous nous avez obligés à faire ça. Maintenant, vous devez nous soutenir pour qu’on aille jusqu’au bout… Nous devons mettre fin à ce conflit avec l’armée qui reprendrait le contrôle de Gaza… Il n’y a pas d’autres moyens de s’attaquer au Hamas et au Jihad islamique qui domine Gaza ».

    Les déclarations de Liberman contredisent celles qu’il a faites par le passé sur l’invasion israélienne de la bande de Gaza. Elles semblent davantage être une attaque personnelle contre Netanyahu. Ces propos sur les « tergiversations » sont une référence évidente à la réticence du Premier ministre à ordonner une offensive terrestre.

    Lundi dernier (8 juillet 2014), Liberman a officiellement retiré son parti, Israël Beytenu, de la coalition avec le parti de Netanyahu, le Likud. Les deux partis s’étaient associés pour présenter une liste commune aux élections l’année dernière. Liberman a invoqué des différences d’opinion entre lui et le Premier ministre sur la réponse à apporter aux tirs de roquettes de la bande de Gaza pour justifier cette séparation.
    Pourtant, le 22 novembre 2012, le lendemain de la signature d’un accord de cessez-le-feu qui a mis fin à l’opération Pilier de défense – huit jours de campagne sans aucune attaque terrestre – Liberman avait loué la décision du gouvernement.

    « Nous savons prendre des décisions qui servent l’intérêt national », avait-il déclaré à l’époque. « La force ce n’est pas uniquement frapper mais aussi [savoir] exercer de la retenue ».
    La décision du cabinet d’accepter le cessez-le-feu a été sévèrement critiquée par de nombreux députés de la coalition. Beaucoup d’entre eux ont fait écho à l’appel de Liberman de reprendre la bande de Gaza. Le ministre de la Communication, Gilad Erdan, a déclaré que le rejet de l’accord par le Hamas « révèle au monde que le Hamas n’a qu’un seul but, et c’est de tuer autant d’Israéliens que possible ».
    Erdan a exhorté l’armée à envahir la bande de Gaza, et à débarrasser l’enclave côtière de l’influence du Hamas.

    « Israël doit écraser les infrastructures du Hamas et nous ne devons pas nous arrêter jusqu’à ce que le travail soit fini, jusqu’à ce que les tirs sur les citoyens israéliens s’arrêtent complètement et que la bande de Gaza soit démilitarisée de toutes les roquettes et des tunnels », a-t-il affirmé.

    Plus de cinquante roquettes ont été tirées sur le territoire israélien dans les heures qui ont suivi l’annonce de la proposition du cessez-le-feu. Ces tirs ont poussé l’armée à reprendre ces frappes dans la bande de Gaza.
    « Après six heures d’attaques unilatérales du Hamas, l’armée a repris ses activités opérationnelles dans la bande de Gaza », déclare le porte-parole de l’armée israélienne, Peter Lerner.
    Netanyahu, pour sa part, a ordonné à l’armée d’ « agir fermement contre les cibles terroristes de Gaza ».


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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    La bande de Gaza menacée par une pénurie d’eau

    Plus d’un tiers de la population a été privé d’eau potable mardi 15 juillet plusieurs heures durant à cause de dégâts provoqués par des bombardements sur les infrastructures hydrauliques.




    Une Palestienne transporte des bouteilles d’eau vides, afin de les remplir, à Beit Lahiya, dans le nord de la bande de Gaza, à proximité de l’école des Nations unies où elle a trouvé refuge, le 16 juillet 2014.


    La crainte d’une crise durable s’installe, alors que les ressources d’eau potable de Gaza étaient déjà surexploitées.
    À la pénurie de nourriture et à l’envol des prix s’ajoute le risque d’une crise pérenne de l’eau dans la bande de Gaza. Au dixième jour des frappes aériennes israéliennes, près de 600 000 Gazaouis se sont trouvés à court d’eau potable à cause des bombardements, ont souligné mardi 15 juillet plusieurs associations humanitaires.

    « LE CIRCUIT HYDRAULIQUE A ÉTÉ TOUCHÉ À DIX-HUIT ENDROITS »
    La situation, qui n’est que très partiellement rétablie, leur fait craindre une crise beaucoup plus persistante. « Dans quelques jours, c’est l’ensemble de la population qui risque de manquer désespérément d’eau », a dénoncé mardi Jacques de Maio, le chef de la délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en Israël et dans les Territoires occupés. « Si les hostilités ne s’arrêtent pas, le problème ne consistera pas à savoir si, mais quand une population déjà épuisée souffrira d’une grave pénurie d’eau. »
    L’opération « Bordure protectrice » a causé des dégâts considérables sur les fragiles infrastructures hydrauliques, particulièrement dans le sud du territoire. « L’approvisionnement en eau de plus de 31 000 Gazaouis a été très fortement altéré, voire anéanti dans les villes de Gaza, Khan Younis et Beit Hanoun. » souligne Paolo Lubrano, le directeur pays d’Action contre la faim en territoire palestinien occupé. « Le circuit hydraulique a été touché à dix-huit endroits : beaucoup de puits sont détruits, les dommages sont terribles. »

    LES ASSOCIATIONS HUMANITAIRES S’ORGANISENT
    La situation est exacerbée par l’intensification des frappes, qui empêchent les techniciens et les experts de procéder à des réparations essentielles sur le réseau. La mort de plusieurs d’entre eux a poussé le service de distribution d’eau à suspendre toutes les interventions sur le terrain, tant que la sécurité de son personnel ne pouvait être garantie.
    Les associations humanitaires s’organisent donc de leur côté pour pallier la menace d’une grave pénurie. Ils distribuent des bouteilles, acheminent des tuyaux de fortune pour reconnecter les municipalités au circuit. Mais leur budget leur permet de traiter à peine plus d’un tiers des besoins, selon Paulo Lubrano.

    DES RÉSERVES D’EAU « DE PLUS EN PLUS CONTAMINÉE »
    Dans l’urgence, les eaux usées des usines de traitement endommagées ont dû être rejetées dans la mer, surexposant la population aux maladies. Le système d’assainissement de Gaza est une problématique de santé publique majeure antérieure au conflit : 90 % de l’eau de la bande est polluée et ne peut être bue.
    Comme l’a souligné un rapport de la banque mondiale et du programme pour l’Environnement des Nations unies (Unep) publié en 2012, Gaza, du fait de ses faibles précipitations, dépend presque complètement de son aquifère côtier, une formation géologique composée de roche perméable capable de retenir l’eau.
    Or l’eau, située à environ 300 mètres de profondeur, « est de plus en plus contaminée par les nitrates des eaux usées non contrôlées », souligne le rapport, selon lequel la pollution de l’aquifère pourrait le rendre inexploitable à horizon 2016.


    http://www.maghreb-sat.com/forum/f8/le-drame-des-gazaouis-52425-3.html


  8. #17
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Trêve humanitaire entre Gaza et Israël

    Dis jours après le début des violences entre Israël et Gaza, les deux opposants ont décidé d’observer une fragile trêve humanitaire ce jeudi 17 juillet.




    Cette trêve devrait permettre d’apporter de la nourriture et des soins à Gaza, alors qu’un raid aérien israélien a fait une nouvelle victime palestinienne à l’aube.
    Entre Israël et le Hamas, le conflit fait toujours rage. Légère accalmie ce jeudi 17 juillet au matin, les deux opposants s’étant mis d’accord sur une trêve humanitaire réclamée par les Nations unies.
    Les ONG et l’UNRWA (l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) auront donc cinq heures, depuis 10 heures (heure locale, 9 heures à Paris) pour faire parvenir des vivres et des soins aux habitants de l’enclave palestinienne.
    L’armée israélienne a toutefois prévenu que si le « Hamas ou d’autres organisations terroristes exploitent cette fenêtre humanitaire », elle y « répondrait fermement ».

    UNE ENQUÊTE SUR LA MORT DE QUATRE ENFANTS
    Ce court répit intervient au lendemain de frappes israéliennes ayant tué quatre enfants sur une plage de Gaza-Ville. Ce jeudi matin à l’aube, au moins trois Palestiniens ont également été tués dans un raid aérien, selon les secours de Gaza. L’échec d’un cessez-le-feu proposé par l’Égypte, qu’avait rejeté le Hamas, a entraîné un nouvel échange de tirs nourris entre Gaza et Israël mercredi 16 juillet.
    L’armée israélienne a indiqué enquêter « consciencieusement » sur la mort des quatre enfants, tout en notant que « selon les résultats préliminaires, les cibles de la frappe étaient du Hamas », une organisation considérée comme « terroriste » par Israël, Washington et l’Union européenne.

    DES NÉGOCIATIONS AU CAIRE
    Depuis le début de l’offensive israélienne le 8 juillet, plus de 220 Palestiniens ont trouvé la mort dans les bombardements.
    Pour tenter d’enrayer la spirale de violence, des négociations ont toujours lieu entre Palestiniens et Égyptiens au Caire. Le Hamas souhaite que la proposition de trêve inclue l’ouverture des points de passage entre Israël et Gaza et la libération de dizaines de Palestiniens.
    D’après le site israélien NRG, des « représentants israéliens » devraient se joindre aux discussions au Caire. Arguant du refus d’une trêve par le Hamas, le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, avait « intensifié » la campagne militaire contre Gaza. Selon lui, « le Hamas porte toute la responsabilité de la poursuite de la violence ».

    UN BLOCUS QUI EMPÊCHE LA FUITE
    Avant de reprendre ses bombardements contre la bande de Gaza, l’armée israélienne avait appelé mercredi matin par SMS, messages téléphoniques et tracts, quelque 100 000 habitants du nord de l’enclave à quitter les lieux.
    Mais aucune fuite massive d’habitants n’a été constatée, beaucoup soulignant n’avoir nulle part où aller. La bande de Gaza, qui s’étend sur 362 km² et compte 1,8 million de personnes, une densité de population importante, est en effet soumise à un blocus israélien depuis des années.


  9. #18
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Pourquoi l’histoire se répète

    LE MONDE | 15.07.2014 à 12h21 • Mis à jour le 16.07.2014 à 16h00 |



    « Pluies d'été » en 2006, « Plomb durci » en 2008-2009, « Pilier de
    défense » en 2012, « Bordure de protection » en 2014 : l'histoire des relations entre Israël et Gaza, depuis que les colons juifs ont été évacués de ce petit territoire côtier en 2005, semble se résumer à une succession d'opérations militaires. A peine un cycle de violences se termine-t-il qu'un nouvel épisode semble en préparation.

    A qui la faute ? Chacun des protagonistes défend son bon droit, son récit des origines, donnant le tournis aux observateurs. La confusion du public est entretenue par les réactions des chancelleries occidentales. Quand elles ne versent pas dans un soutien quasi explicite à l'opération militaire israélienne, celles-ci se cantonnent à un parallélisme scrupuleux.



    LOI DU TALION MODERNE
    Insensiblement s'impose l'idée qu'Israéliens et Palestiniens sont prisonniers d'une loi du talion moderne. Un atavisme archaïque qui les inciterait à s'étriper à intervalles réguliers. Et dispenserait donc la communauté internationale de toute responsabilité.
    Pour échapper à ce fatalisme, il faut raconter une autre histoire. L'occupation de la bande de Gaza, contrairement à ce qu'affirme Israël, n'a pas pris fin avec le départ du dernier de ses soldats, le 11 septembre 2005. Comme le rappelle opportunément l'ONG israélienne Gisha sur son site Internet, l'Etat hébreu continue de contrôler des pans entiers de la vie des Gazaouis : le registre d'état civil, les eaux territoriales, l'espace aérien et l'unique terminal commercial.




    Une unité d'artillerie israélienne, le 12 juillet à la frontière entre Israël et la bande de Gaza. | AFP/MENAHEM KAHANA



    L'
    armée israélienne interdit à la quasi-totalité des habitants de se rendre en Cisjordanie, en violation des accords d'Oslo, qui faisaient des deux territoires palestiniens une seule et même entité juridique. Les habitants de l'enclave sablonneuse n'ont pas non plus le droit de pénétrer dans la « zone tampon », bande de 500 m à 1 km de large le long de la frontière avec Israël, où ils possèdent souvent des terres agricoles. Ceux qui s'y risquent se font systématiquement tirer dessus.

    L'anthropologue Jeff Halper, figure du camp de la paix israélien, use d'une métaphore carcérale pour résumer l'effet paradoxal du désengagement de 2005 :« Dans une prison aussi, les détenus contrôlent l'essentiel de l'espace, aime-t-il àdire. Ils ne sont pas libres pour autant. »



    APATHIE DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE
    De cet état de fait, la plupart des experts en droit international ont conclu que la bande de Gaza est toujours sous occupation. C'est la position officielle des Nations unies. Un tel statut requiert de l'occupant qu'il assure le « bien-être » de lapopulation occupée. Mais à ces obligations, Israël s'est constamment soustrait. Grâce au renfort de l'Egypte du maréchal Abdel Fattah Al-Sissi, farouchement hostile au Hamas, et à l'apathie de la communauté internationale, le bouclage de Gaza s'est même aggravé. Selon le bureau des statistiques palestinien, le taux de chômage pour les jeunes de 15 à 29 ans y a atteint 58 % durant le premier semestre de cette année. 70 % de la population dépend des distributions d
    'aidehumanitaire pour sa survie.
    Les éruptions de violence de 2006, 2008, 2012 et 2014 étaient toutes, directement ou indirectement, liées à l'enfermement des Gazaouis. Un état qui ne remonte pas à l'élection du Hamas, en 2006, mais à la première guerre du Golfe en 1991. C'est à cette date, avant le début des attentats-suicides, que les Palestiniens de Gaza ont perdu le droit de circuler librement.





    Toutes les trêves négociées par le passé ont comporté des clauses de levée ou d'allègement du blocus, comme la réouverture du terminal de Rafah, avec l'Egypte, ou l'élargissement de la zone de pêche. Et toutes ont été ignorées, partiellement ou entièrement, par Israël et son allié égyptien. Celle qui est en cours d'élaboration ne fera pas exception.

    Le Hamas a sa part de responsabilité. Il a lui aussi violé les accords de cessez-le-feu, en important, via les tunnels de Rafah, tout un arsenal de missiles iraniens. Plutôt que de construire des bunkers souterrains, à l'usage exclusif de leurs responsables, les islamistes auraient mieux fait de bâtir des abris antibombes, ouverts à leurs administrés. Saigné par le blocus, le Hamas est tenté, à intervalles réguliers, de redorer son blason de mouvement de « résistance » en défiant Israël.



    PROCESSUS D'EXTORSION
    La seule manière de rompre ce cercle vicieux – et notamment de marginaliser le Hamas – consiste à relancer le processus de paix. Pas un processus d'extorsion régi par la loi du plus fort, ce à quoi la plupart des séances de négociations des vingt dernières années ont ressemblé. Mais des pourparlers sur un pied d'égalité, avec le droit international comme référence.
    Or vendredi 11 juillet, en marge d'une conférence de presse consacrée à Gaza, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré qu'il était catégoriquement opposé à la création d'un Etat palestinien souverain. Un accès de franchise rare, signalé par le site d'information Times of Israel, mais passé sous silence dans les médias occidentaux. En l'absence d'un tel horizon, l'armée israélienne peut déjà réfléchir au nom de code de la prochaine opération contre Gaza.






    A lire : http://www.maghreb-sat.com/forum/f8/le-drame-des-gazaouis-52425-3.html


  10. #19
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Et pendant ce temps que font les arabes?
    Ils ne pensent qu'à se remplir la panse.

  11. #20
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    Re : Et Pendant Ce temps Là............

    Offensive à Gaza : 13 Palestiniens et un Israélien tués



    Un tank Merkava près de la bande de Gaza, le 17 juillet. | AFP/JACK GUEZ


    La dernière tentative de négociations
    pour tenter d'obtenir un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas à Gaza a fait long feu. Après dix jours de bombardements, le gouvernement israélien a ordonné à son armée, jeudi 17 juillet, de commencer les opérations terrestres sur le territoire palestinien.

    Cette nouvelle phase de l'opération « Bordure protectrice » sur certains secteurs de Gaza doit inclure des opérations d'infanterie, d'artillerie et de renseignements, appuyées par l'aviation et la marine. L'armée a également mobilisé 18 000 réservistes supplémentaires.



    • Objectif : les tunnels

    Un communiqué diffusé par les bureaux du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou,a précisé jeudi soir que les soldats israéliens allaient surtout êtredéployés pour « infliger un coup significatif aux infrastructures du Hamas ».
    Derrière cette assertion, le président israélien a annoncé clairement que le principal objectif est d'« atteindre les tunnels terroristes qui vont de Gaza vers Israël ». Israël cherche en effet à neutraliser la puissance de feu du Hamas, mouvement terroriste pour Israël et l'Occident, qui a frappé l'Etat hébreu avec plus de 1 000 roquettes pendant 10 jours et a fait un mort. L'opération pourrait durerplusieurs jours si nécessaires, selon l'armée.


    • Treize morts côté palestinien, un côté israélien

    Après ces annonces, de violents combats ont éclaté au nord et au sud de Gaza le long de la frontière.
    Treize Palestiniens, dont un bébé, ont été tués, portant donc à au moins 258 le nombre de Palestiniens tués depuis le début de l'opération israélienne « Bordure protectrice » à Gaza le 8 juillet. En outre, plus de 1 770 personnes, en majorité des civils, ont en outre été blessées.

    Jeudi soir, les Gazaouis et témoins sur place faisaient également état d'intenses bombardements, alors que l'armée israélienne avait renouvelé ses appels à l'évacuation. De nombreux journalistes étrangers ont été intimés de quitter leurs hôtels près de la côte de Gaza.
    L'armée israélienne a annoncé vendredi matin qu'un de ses soldats avait été tué dans l'offensive.





    Le Hamas se dit « prêt à la confrontation »
    « Israël doit cesser ses opérations (terrestres) dans la bande de Gaza », a réagi le président palestinien Mahmoud Abbas jeudi soir. Le déploiement des troupes israéliennes va selon lui causer « davantage d'effusion de sang » à Gaza et compliquer les efforts pour mettre fin au conflit dans l'enclave.
    Le Hamas a également affirmé qu'Israël « paiera le prix fort » après « cette décision radicale », selon un porte-parole du mouvement palestinien.


    « Ce que l'occupant israélien n'a pas réussi à réaliser par ses raids aériens et maritimes, il ne le réalisera pas par son offensive terrestre qui est vouée à l'échec », a également assuré le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal.
    Les Israéliens font valoir en retour que l'envoi de troupes israéliennes dans la bande de Gaza « a été approuvée par le cabinet de sécurité, après le refus du Hamas d'accepter le plan égyptien pour un cessez-le-feu et la poursuite des tirs de roquettes sur Israël ».

    Dans la journée, le ministre des affaires étrangères egyptien Samek Choukri, qui avait participé aux dernières négociations, avait déploré :

    « Si le Hamas avait accepté la proposition égyptienne, il aurait pu sauver les vies d'au moins 40 Palestiniens. »

    Quel honte de la part du gouvernement Egyptien !


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